Créé en 1999, le concours i-Lab vise à "détecter et faire émerger des projets de création d'entreprises s'appuyant sur des technologies innovantes" et à "favoriser le transfert des résultats de la recherche vers le monde socio-économique", rappelle le ministère dans le dossier de presse diffusé à l'occasion de la présentation des résultats de la 21ème édition du concours.
Il constitue l'un des trois volets du Concours d'innovation financé par le programme d'investissements d'avenir (PIA), avec les concours i-PhD s'adressant aux jeunes chercheurs et le concours "i-Nov", qui soutient des projets portés par des start-up et PME. Il est également abondé par le Fonds pour l'innovation et l'industrie.
Les lauréats d'i-Lab reçoivent une subvention d’un montant maximal de 600.000 euros (versée à l’entreprise qu’ils auront créée) pour financer une partie de leur programme d’innovation.
L'édition 2019 du concours a récompensé 75 projets sur 468 candidatures déposées et finalisées.
La pharmacie et les biotechnologies représentent un quart des lauréats, devant le numérique et les technologies logicielles (24%) et les technologies médicales (20%). Au total, les projets relevant de la santé e...