La société se présente comme le "premier hébergeur de données de santé en France avec plus de 45 millions de dossiers santé actifs" dans son communiqué.
Elle opère "ses propres data centers installés en France".
La certification obtenue couvre les 6 domaines d'activités du référentiel, a-t-elle précisé.
Il s'agit de:
- la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle des sites physiques permettant d’héberger l’infrastructure matérielle du système d’information utilisé pour le traitement des données de santé
- la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de l’infrastructure matérielle du système d’information utilisé pour le traitement de données de santé
- la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de la plateforme d’hébergement d’applications du système d’information
- la mise à disposition et le maintien en condition opérationnelle de l’infrastructure virtuelle du système d’information utilisé pour le traitement des données de santé
- l’administration et l’exploitation du système d’information contenant les données de santé
- la sauvegarde de données de santé.
En mai, la plateforme régionale d’innovation en e-santé mutualisée (PRIeSM), qui doit favoriser le développement de projets d’e-santé dans le Grand Est, a notifié à Docaposte "une fin de collaboration" sur fond de désaccords financiers et de "difficultés techniques", rappelle-t-on.
La liste des hébergeurs certifiés HDS est disponible sur le site de l'Agence du numérique en santé (ANS, ex-Asip santé).
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