Il s’agira d’un "substitut dermo-épidermique autologue qui sera applicable chez toutes les personnes ayant subi une perte de substance cutanée", et ce, quelle qu'en soit la cause, est-il indiqué.
"L’objectif est de produire dans un temps raisonnable des greffons implantables directement à partir d’une simple biopsie effectuée lors d’une consultation" et "applicables sans anesthésie, sans procédure chirurgicale complexe", a vanté l'AP-HM.
L'AP-HM n'a pas indiqué de date pour le démarrage de l'essai, mais prévoit que la production de greffons se fasse "dans des délais très courts".
Une étude, publiée le 23 décembre 2017 dans les Annales pharmaceutiques françaises et réalisée par six chercheurs issus du service pharmacie de l'Hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP, AP-HP, Paris) et du groupe de recherche et d'accueil en droit et économie de santé (Grades) de la faculté de pharmacie de l'université Paris-Sud, démontrait que le recours à l'impression 3D se confirme dans les établissements de santé, rappelle-t-on.
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