Pour l’heure, le DMP ne propose aux biologistes que "l’envoi de fichiers statiques avec la seule possibilité de stockage en l’état", a rappelé la société dans son communiqué.
Cette expérimentation permettra aux données transférées dans le DMP d’être automatiquement structurées.
Elle "facilite la communication entre professionnels de santé autour de la donnée biologique" et "offre la perspective d’un accès simplifié, d’une lisibilité améliorée, et enfin, la possibilité à venir de lier la donnée biologique au contexte clinique du patient", a déclaré Géry Pruvost, directeur du business development de Medicus AI France.
"À terme, les médecins biologistes pourraient de plus récupérer automatiquement les données cliniques nécessaires à une meilleure interprétation et au conseil spécialisé auprès de ses patients et confrères médecins", a fait valoir la société.
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